Rencontre avec Anouck Mugnier, coach et officiante de cérémonies laïques chez Say I Do.

Alors que ses études et ses opportunités professionnelles l’ont conduite à Rennes, Bordeaux puis Paris et Toulouse, Anouck est revenue vivre à Brest, sa ville natale, en 2022. C’est ici désormais qu’elle accompagne les couples dans la préparation de leur cérémonie laïque de mariage. Au fil des années, la pétillante jeune femme a approfondi ses connaissances et sa méthode. En 2021, elle ajoute une corde à son arc et se forme au coaching de vie. Aujourd’hui, le Grand Amour est son sujet de prédilection : le reconnaître (coaching 1:1), déployer son plein potentiel (ateliers thématiques), et le célébrer à sa juste valeur (cérémonie laïques). 

Anouck nous a reçu chez elle, autour d’un thé “Vertige de l’Amour”, pour nous raconter son parcours, son cheminement et son approche dans l’accompagnement des futurs mariés pour la célébration de leur amour. 

 

Crédit Photo : Mathieu Alemany

“Je suis brestoise, j’étais au lycée ici, puis j’ai fait une prépa HEC à Chateaubriand à Rennes. J’ai tenu jusqu’au mois de février, et je suis partie avec un bon zéro et demi en maths, c’était horrible ! (Rires) Mais j’y ai rencontré plusieurs de mes meilleurs amis, donc ça n’était pas perdu ! 

Ensuite, j’ai bifurqué vers  un IUT GEA (Gestion des Entreprises et des Administrations) et j’ai passé les concours par voie d’admission parallèle pour les écoles de commerce, pour finalement intégrer BEM (qui est devenue KEDGE) à Bordeaux. J’ai toujours choisi le parcours qui ne me fermait aucune porte car je ne savais pas ce que je voulais faire : Première S, Prépa, école de commerce... L’avantage de BEM c’est qu’on y construisait notre parcours à la carte. C’était une école assez portée sur les Arts. Dans ma promo beaucoup ont fait de la chanson, de la musique, du théâtre, certains ont repris un cursus en philo, un autre est devenu humoriste... En fait, on a tous fait une école de commerce pour rassurer nos parents ! (Rires) Et après on a fait complètement autre chose ! 

J’ai suivi le « Parcours Industries Créatives », dans l’idée de devenir Wedding Planner ou administratrice de troupe de danse. Je me suis retrouvée dans une petite classe avec des gens comme moi, qui ne voulaient pas faire du marketing ou de la finance dans des grosses boîtes. Grâce à cette spécialisation, j’ai pu choisir le thème de mon mémoire librement et j’ai travaillé sur le marché du mariage en France. L’objectif, c’était de faire des interviews (enquêtes qualitatives) : pour se créer un réseau, rencontrer des gens, découvrir des métiers, nous faire connaître et, en gros, trouver des stages. C’est comme ça que j'ai découvert le métier d'officiant. J'ai rencontré Claire Bay qui tenait le blog Une Belle Cérémonie, c’était une pionnière du métier. On s’est tout de suite hyper bien entendues et ça l’intéressait de lire mon mémoire pour avoir un travail de fond sur le sujet. Elle m’a proposé de l’accompagner sur un mariage, et ça a été le déclic pour moi. Comme elle commençait à avoir énormément de demandes, sur le chemin du retour elle m’a proposé d’écrire pour son blog, de me former aux cérémonies et de me déléguer des contrats. C’est comme ça que j’ai commencé, en 2016.

 

Crédit Photo : Mathieu Alemany

Crédit Photo : Mathieu Alemany

Crédit Photo : Mathieu Alemany

 

J’ai travaillé seulement six mois en entreprise avant de tout plaquer pour vivre de mes deux passions : les mariages et la gymnastique rythmique ! La première année j’ai officié six ou sept cérémonies, et en parallèle j’étais coach de GRS à Paris. Je travaillais aussi pour Claire sur une autre entreprise, Perfect Paris Wedding, qui organisait des elopements à Paris. Ça m’a permis de pas mal m’entraîner, en tant qu'officiante, sur ces mini-cérémonies. C’était une expérience assez fun, dans le sens où je rencontrais beaucoup de monde, j’étais à Paris, je montais en compétences... Quelques temps après, on m’a proposé de reprendre le site Perfect Paris Proposal (le site cousin de Perfect Paris Wedding) … alors j’ai commencé à organiser des demandes en mariage à Paris ! Dans le même esprit, un côté « Paris Dream » : des expériences que les français ne feraient pas mais que les américains adorent (rires) : le tour en calèche, la demande sur le pont Alexandre III, devant la Tour Eiffel qui commence à scintiller. Pour eux c’était vraiment la réalisation d’un rêve. 

Mon activité de coach de GRS en parallèle peut sembler complètement décorrelée du monde du mariage, mais finalement je retrouvais beaucoup de similarité entre les deux. Quand je travaille sur une cérémonie, il y a toute la partie immergée de l’iceberg qui est la préparation, puis le jour J qui est la petite partie visible. C’était pareil quand j’étais coach de GRS : la recherche artistique du thème et de la musique, la création de la chorégraphie, la mise en scène, puis le travail de fond, minutieux, de répétition... Et le jour de la représentation : ça dure deux minutes trente, mais c’est tout ce que tu as fait avant qui permet d’arriver à ce résultat. 

Quand Claire a décidé de lever le pied sur les cérémonies, j’ai créé mon propre site, Anouck Mugnier Officiante, qui s’est transformé en Say I Do en 2019. J’ai fait une super année… et puis on s’est tapé deux ans de Covid ! (Rires). Alors j’en ai profité pour suivre une formation professionnelle de coach de vie, sur huit mois, et j’ai adoré ! J’en suis ressortie avec de nouveaux outils pour accompagner les couples, une meilleure posture d’accompagnante et une meilleure qualité d’écoute.

Ce qui m’a donné envie d’entamer cette formation, à la base, c’était de pouvoir suivre les couples et les accompagner au-delà de la journée de célébration. J’avais envie de pouvoir être un peu comme un "curé de famille" (rires) qui va être là pendant la préparation au mariage, la célébration, mais aussi être présente en cas de problèmes rencontrés, etc. ça me plaisait bien de pouvoir proposer des sortes de « thérapies de couple ». Après la formation je me suis rendue compte que coacher une personne à la fois demandait déjà beaucoup de concentration et de pratique, donc le coaching de couple attendra encore un peu ! Quant à la thérapie… peut-être qu’un jour je reprendrai des études de psycho… qui sait !

Dans cette formation on a expérimenté nous-mêmes des exercices de PNL (programmation neuro-linguistique) pour trouver sa mission de vie, ses valeurs, on s’est coachés entre nous pour s’entraîner. Ça a fait émerger plein de choses chez moi et j’en suis sortie avec les idées beaucoup plus claires. C’est grâce à tout ce travail que j'ai fait le lien entre les cérémonies, le coaching de couple, et les ateliers que je voulais mettre en place. Je me suis rendue compte, à la fin de ces huit mois, que le thème qui me tenait à cœur, au-delà du couple, c’était “le Grand Amour”. Je suis persuadée que le grand amour existe et qu’il y a plein de gens qui passent à côté : parce qu'ils n'y croient pas, ou parce qu’ils n’ont pas le courage de se « réaligner », de se faire confiance et de faire confiance à la vie. Or, pour moi, s’autoriser à vivre le Grand Amour, l’entretenir et le solidifier, c’est se créer un noyau fort, à partir duquel tout le reste peut rayonner, se déployer…

 

Crédit Photo : Alice Bee

Cérémonie intimiste en hiver - Crédit Photo : Neupap Photography

Cérémonie intimiste en hiver - Crédit Photo : Neupap Photography

 

Quand les futurs mariés me contactent, ils cherchent généralement quelqu’un pour animer la cérémonie laïque, sans avoir idée de tout le travail qu'il peut y avoir en amont. Je leur demande s'ils souhaitent qu’une officiante professionnelle anime la cérémonie, ou s'ils veulent que ce soit un proche (témoin, parent…). Parfois ils n'ont pas du tout réfléchi à cette question et ne savent même pas qu’il est possible de confier cette tâche à ce qu’on appelle un « officiant d’un jour ». S’ils veulent que j’officie la cérémonie le jour J, c’est la formule complète : un accompagnement de notre première rencontre au jour J. S’ils souhaitent se dire oui devant quelqu’un qui fait partie de leur vie car ça a plus de sens pour eux, je propose trois niveaux d’accompagnement. Le « script clé en main » est la formule adaptée à ceux qui veulent alléger au maximum la charge de travail de leur officiant d’un jour tout en bénéficiant de la préparation avec moi. 

Il est possible également qu’ils aient choisi un témoin dont ils apprécient le style, la créativité, la prestance… il est alors important pour eux qu’il imprègne la cérémonie de sa personnalité. Dans ce cas, je les oriente vers la formule « coaching écriture ». Je fournis les outils : questionnaires, work book de l’officiant, guides pratiques, etc. On se rencontre pour un premier rendez-vous de démarrage afin de poser les attentes d’un côté et de l'autre, puis leur officiant d’un jour travaille seul et j’interviens au fur et à mesure pour le conseiller, l’aider s’il est bloqué. Je supervise et je relis !

La troisième option, c’est une toute petite formule, le « mini coaching » : je donne les outils, ils travaillent en autonomie et je relis.  Ça permet de les rassurer, d’avoir une base sur laquelle s’appuyer sans partir complètement dans le vide.

Je commence par rencontrer les futurs mariés, pour voir si ça matche entre nous. J’explique comment je fonctionne et que c’est important pour moi qu’ils aient envie de passer du temps sur cette cérémonie, à réfléchir à deux. Une fois embarqués dans l’aventure, je leur demande de remplir un questionnaire ensemble, un autre individuellement, et s’ils le souhaitent un questionnaire supplémentaire un peu plus ludique à base de phrases à compléter et de portraits chinois.  Pour ceux qui veulent creuser encore davantage, je propose des fiches de préparation au mariage. Ces fiches reprennent une dizaine de thèmes comme la communication, la famille, la sexualité, l’argent, etc. L’objectif est que chacun planche sur ces questions individuellement pendant une trentaine de minutes (par thème), puis qu’ils échangent ensuite leurs points de vue. C’est une sorte d’auto-préparation qu’ils peuvent faire chez eux, sans nécessairement me partager leurs réponses. C’est plus intime que les questionnaires, ça génère des discussions et des prises de conscience. 

De leurs réponses aux questionnaires et de nos discussions en rendez-vous, ressortent des thèmes principaux : ce sont les messages phares de la cérémonie, ceux qui dessineront la trame, orienteront les prises de paroles, le choix des lectures éventuelles et des rituels symboliques.

 

Lecture d’un poème à deux voix - Crédit Photo : Deux Drôle d’Oiseaux

Alliances apportées par les grand-mères - Crédit Photo : Deux Drôle d’Oiseaux

 

Les mariés ne veulent pas toujours intégrer de rituels à la cérémonie, mais quand ils le souhaitent, je pars le plus souvent de rituels existants que je twiste ensuite pour qu’ils collent parfaitement à leur couple, à leur histoire, à leur style. Il m’arrive aussi d’en créer, de les imaginer à partir de leurs centres d’intérêt, des messages à faire passer, de leurs envies... Je ne le fais pas à chaque fois, mais quand je sens qu’ils sont eux-mêmes créatifs, on y réfléchit ensemble, on co-construit ce moment. Par exemple, pour le mariage de ce week-end, les mariés voulaient un rituel qui remplacerait la signature des témoins, serait le « clou du spectacle », et représenterait leur union, le tout, symbolisé dans un objet esthétique qui ne s’altère pas dans le temps ! Je vous en parlerai dans un article !

Mes cérémonies durent environ une heure. Elles se sont rallongées au fil du temps car je creuse davantage lors de la préparation et j’ai davantage de matière à exploiter. J’ai évolué et ma prestation aussi. On me pose aussi souvent la question du ton que j’emploie. Mon travail c’est de faire ressortir l’essence du couple, qui ils sont réellement : individuellement et à deux. Je m’adapte à leur style. Je capte, j’emmagasine à la manière d’une éponge, et je retransmets cette essence aux invités, comme un canal.

J’accompagne aussi les proches dans la rédaction de leur discours. Souvent ils m’envoient une première version et je leur suggère de creuser, de donner des exemples, de préciser. Je questionne à la manière d’une coach. Le but c’est de les aider à percer un peu la coquille, faire tomber la carapace ! Surtout les papas ! (Rires) Ils se cachent toujours un peu derrière l’humour ou derrière un discours qui parle à l’assemblée plutôt qu’aux mariés. Mon but, c’est de les aider à aller au fond des choses. Je les incite aussi à s’adresser à leur enfant directement et ça change absolument tout ! Faire pleurer les papas, ou leur faire dire “je t’aime”, c’est un peu notre challenge avec les copines officiantes. (Rires). 

En relisant leurs discours, je vérifie aussi qu’il n’y ait pas de contresens entre ce que les mariés m’ont dit et ce qu’écrivent les proches, ou une anecdote qui se répète entre deux discours. J’ai besoin de savoir en amont ce qu’ils vont dire pour que tout s’enchaîne bien, les introduire au bon moment et soigner les transitions.

Et j’aide les futurs mariés à écrire leurs vœux. Avec une amie officiante Bourguignonne (Emilie de Pour Une Cérémonie), on vient de terminer la rédaction de notre « Guide des vœux de mariage ». Une bible de cent pages en trois parties pour aider les mariés à préparer, rédiger et prononcer des vœux de mariage sincères et authentiques ! Ça fait partie des outils que je donne à mes mariés, mais il est aussi disponible à l’achat pour ceux qui le souhaitent, hors accompagnement. Les mariés rédigent leur premier brouillon puis on fait des allers-retours jusqu’à ce qu’ils soient pleinement satisfaits de leur version finale. Je vérifie que ce soit équilibré entre les deux partenaires, dans l’émotion, dans la longueur, etc.

 

Echange de consentements - Crédit Photo : Noémie Zind

Discours des témoins - Crédit Photo : Matthias Plantard

Cérémonie intimiste - Crédit Photo : Un Petit Coin de Parapluie

 

 On travaille aussi sur la construction technique de la cérémonie : la scénographie doit être au service des messages que les mariés souhaitent faire passer. Par exemple, si les témoins occupent un rôle prépondérant dans leur union, je suggère de les installer face aux invités plutôt qu'au premier rang, ou je propose un rituel qui les implique. Je réfléchis donc avec les couples sur ce point mais je ne réalise pas la décoration. Je leur donne un guide de la scénographie et mes inspirations Pinterest, puis nous en discutons en rendez-vous. De la même façon, je les accompagne dans le choix des musiques, mais la présence d’un DJ est essentielle le jour J. Une à deux semaines avant le mariage, je remets une feuille de route très détaillée aux mariés et aux différentes parties prenantes de la cérémonie. Rien n’est laissé au hasard !

À travers mon métier, j’aime beaucoup découvrir d’autres styles de vie, d’autres manières de fonctionner, me plonger dans de nouveaux univers à chaque fois. J’adore voir que chaque couple pense qu’il fait comme tout le monde, qu’il suit une sorte de norme, alors que pas forcément ! Je contribue à créer de la conscience dans la routine amoureuse des couples : on est tous un peu en mode automatique alors c’est l’occasion pour eux de se poser et de réaliser qu’ils ont une habitude de couple vraiment cool ! Tout le monde ne fait pas ça et on va le célébrer. Par exemple, certains ont un petit bol dans lequel ils déposent leurs téléphones hors de la chambre avant d’aller se coucher et ils n’ont plus d’écran qui parasitent leur vie. Pour un autre couple, ce sera le rituel du petit déjeuner au lit ensemble, tous les matins. C’est génial de les voir prendre conscience de leurs spécificités.

C’est un vrai privilège d’être là, aux premières loges, dans les moments clés de leur vie, les moments joyeux. J’adore les accompagner dans la création de leurs souvenirs, de contribuer à ancrer un moment de vie intense dans leur mémoire. Quand on prépare la cérémonie, on fait un arrêt sur image sur leur vie, leur quotidien, leurs projets en cours. C’est important de s’arrêter et de contempler ce que l’on a construit de temps en temps ! J’aime le moment où je reçois les questionnaires : commencer à regarder, piocher, chercher les idées qui se rejoignent, puis réfléchir à la structure de la cérémonie. 

Ce qui est chouette aussi, quand j’accompagne les mariés ou les proches dans la rédaction de leurs discours, c’est de leur faire prendre conscience que tout était déjà là. Certains paniquent devant la page blanche et il suffit que je note mot pour mot ce qu’ils me disent, pour leur prouver qu’ils ont déjà tout ça en eux ! 

Rituel du vin scellé - Crédit Photo : Ed Peers

Rituel familial - Crédit Photo : Jérôme Tarakci

 

Et le jour J, j’adore vivre les émotions en direct, voir les visages de tout le monde. Je sais quels mots vont faire particulièrement écho aux mariés et ce sont des moments très forts. C’est la partie émergée de l’iceberg : le moment où on donne tout, mais c’est le fruit de toutes leurs discussions et notre travail en amont. Aujourd’hui encore, j’ai mon petit trac avant d’y aller (rires) et quand je vois la mariée avec son cortège, là je sais que c’est parti. Ce que je préfère c’est la réaction du marié quand la mariée arrive. J’aime voir chacun vivre le moment à sa façon, je n’essaie pas d’interpréter ce qu’ils ressentent je leur fais confiance. Parfois quelque chose de très simple, un discours très court, peut être très intense en émotions. Au début, j’avais toujours les larmes qui montaient ! Maintenant je me suis un peu endurcie (rires) et puis je travaille beaucoup les discours avec les mariés, donc il y a moins de surprise. 

J’aime beaucoup les cérémonies en petit comité aussi, je trouve ça très vivant, plus intime, plus spontané. Les mariés savent qu’ils sont entourés de personnes proches et bienveillantes alors ils s’autorisent davantage de choses. Les émotions sont palpables et décuplées, il y a une vraie connexion.

Si je devais donner un conseil à de futurs mariés, ce serait de vraiment prendre en compte le feeling du rendez-vous découverte. Si au premier contact, vous n’avez pas déjà envie de me raconter des choses, si la discussion ne se fait pas naturellement, il vaut mieux chercher une autre officiante. Il faut impérativement se sentir à l’aise pour pouvoir se livrer entièrement et construire une cérémonie porteuse de sens. Je conseillerai aussi de s’impliquer dans le processus de création. Ne déléguez pas tout à l’officiante (ou à votre officiant d’un jour), vous risqueriez de passer à côté de l’exercice. Demandez-vous “Qu’est-ce que j’ai envie de dire ? Qu'est-ce que j’ai envie d’entendre ?” Une cérémonie 100% surprise, selon moi, ce serait passer à côté du fond et se priver de toute la partie immergée de l’iceberg !”


Les prestataires recommandés par Anouck :

  • Calypso Events : Wedding Planner, “J’ai rencontré Pauline lorsqu’elle a proposé mes services à ses premiers clients ! Depuis Pauline est devenue une amie. Professionnellement elle est très sympa, arrangeante, accessible mais aussi vraiment carrée et méticuleuse ! Ce que j’aime particulièrement dans son travail c’est qu’elle ne projette pas sa propre vision du mariage sur l’événement : elle sait se plonger dans l’univers de ses clients et leur proposer ce qui leur correspond vraiment.”

  • Écume Events : Wedding planner, “Je n’ai jamais travaillé avec Justine mais j’ai eu un très bon feeling lors de notre rencontre ! Ancienne chef de produit Marketing, je pense qu’elle est carrée et efficace. C’est pas le genre de fille qui va se noyer dans un verre d’eau ;) ”

  • Mint & Sweet Pepper : Fleuriste, “Pauline est une vraie artiste. Si tu veux du wild hyper créatif, tu vas la voir et t’es servie ! ”

  • Ultra-Violette : Fleuriste, “On s’est croisée sur un shooting, elle est pep’s, très sympa. Elle fait beaucoup de mix fleurs séchées fleurs fraîches, ce que je n’avais pas l’habitude de rencontrer. Nous n’avons pas encore eu l’occasion de travailler sur un événement commun.”

  • Yveline Douguet : Fleuriste. “Je n’ai jamais rencontré Yveline mais plusieurs de mes mariés ont fait appel à elle pour leur arche de cérémonie. C’est du travail très soigné, très romantique sans être « cucul » pour autant. Je la définirais par la délicatesse et l’élégance !”

  • Des pissenlits par la racine : Fleuriste, “Les filles ont fait un superbe travail de dernière minute pour trouver les fleurs parfaitement adaptées à ma palette de couleur pour l’anniversaire de ma grand-mère… quelques jours avant seulement !”

  • Un Petit Coin de Parapluie : Photographe, “J’ai rencontré Patrick sur un mariage, grâce à Pauline. Patrick c’est un original avec du génie en lui. Ses photos sortent du lot.”

  • Lenaïg Mével : Photographe, “Elle a réalisé nos photos de fiançailles ☺ Je ne sais pas si quelqu’un aurait pu nous mettre plus à l’aise qu’elle. On n’a jamais eu la sensation de poser. Le résultat est sublime.”

  • Poppy Blossom : Photographe, “Pauline aime les ambiances douces et naturelles. Elle capte de suberbes lumières dorées. Je trouve ses photos cosy, chaleureuses et pleines d’amour.”

  • Chlotidien : Photographe, “Couleurs pep’s sourires et éclats de rire !”

  • Le Roudouic : Lieu de réception, “Nadine et Charles sont vraiment des crèmes, la déco est originale, tout est beau et de qualité... J’adore ! C’est d’ailleurs le lieu que nous avons choisi pour notre mariage ;) ”

  • Sionny : DJ, “C’est toujours parfait pendant les cérémonies. Paul adore les sonoriser, il est hyper concentré et on sent la précision… ce qui est loin d’être toujours le cas !”

  • Valiséo : vidéastes, “Très sympa et qualitatif ! C’est un atout de choisir une équipe déjà bien rodée”

  • Jeanne Lannurien : Créatrice de robes de mariées, “Elle est hyper talentueuse. La haute couture près de chez soi !”

  • La Colonie de Trézien : Lieu de réception, “Lieu de réception, “Parfait pour les mariages d’été sous le soleil. J’ai appris qu’on pouvait y apercevoir des dauphins au loin quand le ciel est dégagé ;)”


Say I Do - Coach et officiante de cérémonies laïques

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