Rencontre avec Estelle Viallon, officiante de cérémonies laïques

Estelle est officiante de cérémonies laïques, elle est aussi écrivain et biographe. De sa carrière dans l’hôtellerie et dans l’armée (oui, oui, en tant que personnel navigant !) elle conserve le goût du voyage, de l’aventure et du contact avec les gens. Depuis toujours, l’écriture fait partie de sa vie. Amoureuse des mots, elle renoue rapidement avec la plume. Le déclic ! Et, comme une évidence, la met au service des autres. Depuis 2018, elle accompagne les futur.e.s époux.ses de la préparation de leur cérémonie de mariage jusqu’au jour J.

Estelle est solaire et ses éclats de rire ponctuent nos échanges ! Nous l’avons rencontrée chez elle, dans les Côtes d’Armor, par une belle journée de septembre. L’occasion, pour nous, de l’écouter raconter son histoire…


« Je suis écrivain-biographe et officiante de cérémonie laïque. Je me suis vraiment spécialisée dans les récits de vie. Ce qui me passionne par-dessus tout ce sont les histoires, bien sûr, mais surtout de réussir à raconter qui est la personne, qui est le couple. Ce qu’ils ont envie de transmettre. Ça s’articule autour de différents supports, notamment les livres pour les biographies, et l’écriture des cérémonies pour les mariages. Je travaille aussi dans le cadre funéraire, c’est évidemment un autre sujet, mais l’objectif est de retranscrire la vie des personnes pour que les proches y trouvent de la sérénité.

Concernant les biographies, j’ai commencé dans le cadre familial, j’avais véritablement envie de transmettre ces histoires et l’idée a germé comme ça. Quand j’ai commencé mon activité, je souhaitais que ma plume soit au service des gens. Ça m’aurait semblé incomplet de me cantonner aux cérémonies laïques, bien que ce soit formidable à chaque fois. Je rencontre des tas d’histoires, des histoires croisées qui se mêlent, c’est vraiment génial. Mais c’était logique pour moi de m’atteler également à la rédaction d’éloges funèbres et de biographies. 

L’écriture, ça fait partie de moi, mais je ne l’ai jamais exprimée comme telle. C’était très inconscient. En revanche, j’ai toujours écrit : j’avais systématiquement un stylo pour noter tout et n’importe quoi. Mes proches me sollicitaient pour les courriers qu’ils avaient à rédiger, et moi je suis fan des correspondances ! J’adore recevoir du courrier ! (Rires) Mais je ne me suis jamais dit, étant plus jeune, que j’avais envie d’exercer ce métier. D’ailleurs, je ne savais même pas que c’était possible. Aux alentours de 12 ans, j’avais en tête de devenir hôtesse de l’air. Voilà, ça a toujours été là, ne me demande pas pourquoi ! (Rires) Et avant ça, j’ai été bercée d’histoires par mon grand-père.

J’étais attirée par les voyages, les récits et les gens : comprendre comment ils sont arrivés là, pourquoi, par quel biais, etc. Mon parcours s’est constamment articulé autour du voyage et des langues en fait, pour le contact avec l’humain. Après mon bac L, j’ai suivi des études dans le tourisme pendant deux ans avec l’objectif de pouvoir découvrir le monde. À l’époque, pour être hôtesse de l’air, il fallait avoir 21 ans révolus. Moi j’en avais 19 en sortant de mon école, donc il fallait bien que je gagne ma vie en attendant. Alors j’ai commencé une carrière dans l’hôtellerie. Pendant 10 ans, j’ai travaillé dans des établissements de deux à cinq étoiles : d’abord en tant que réceptionniste de nuit et j’ai fini gérante d’hôtel. J’ai évolué dans ce secteur, au contact des gens, avec toujours l’idée du voyage. Et j’ai toujours eu besoin de rendre service, c’est vraiment quelque chose d’important pour moi : accueillir, de la meilleure des façons. J’ai ce souci du détail et j’ai travaillé dans des établissements avec des standards très précis, ce qui me ressemblait bien.

Les pays visités par Estelle. Ni plus, ni moins ! - Crédit Photo : Mathieu Alemany

En 2011, j’ai eu l’opportunité de passer toutes les sélections et je suis entrée dans l’armée de l’air. Petite parenthèse de quatre ans ! (Rires) J’étais personnel navigant dans l’armée, ce qui est l’équivalent d’hôtesse de l’air dans le civil. J’ai beaucoup voyagé, mais je me suis vite rendu compte que ça n’était pas tellement compatible avec une vie de famille. Et je souhaitais absolument être maman ! Alors j’ai stoppé à la fin de mon premier contrat et j’ai continué quelque temps en tant que personnel navigant, à bord de la Brittany Ferries cette fois : service à bord, sécurité des personnes embarquées, etc. J’ai toujours travaillé au service des gens, des voyageurs, ça m’a nourrie !

Suite à ça, j’ai fait une petite pause pour compléter mes études : avec mon mari, on avait le projet de reprendre un petit hôtel. Mais il me fallait un peu plus de billes pour me lancer dans la gestion hôtelière donc j’ai terminé mon cursus universitaire avec une année supplémentaire pour obtenir ma licence.

Et puis ça ne s’est pas fait, pour diverses raisons, dont la plus notable : nous attendions un enfant.  J’ai alors décidé de prendre un vrai congé d’un an et demi. C’est aussi une période où tout s’est chamboulé en termes d’émotions, de vie, de recul… en termes de tout. C’est là que j’ai réalisé que je devais me laisser cette chance d’essayer de faire quelque chose avec cet outil qu’est ma plume et qui est ma passion depuis toujours. Il fallait que j’écrive et que je sois au service des gens. 

J’ai relu mon parcours et j’ai eu comme un déclic. En 2011, une de mes amies s’était mariée et m’avait demandé d’être maître de cérémonie. C’était juste avant d’entrer dans l’armée, je n’avais jamais entendu parler de tout ça et j’étais très surprise qu’elle me sollicite. J’ai bien évidemment accepté et c’était génial ! Alors c’est revenu après : raconter la vie des gens, leurs parcours, etc. J’ai toujours un peu baigné dans le domaine du mariage, car ma maman travaillait en mairie, elle était officier d’état civil. Quand j’allais à son bureau, je regardais les mariées passer et je scrutais leurs robes : « oh elle est super belle celle-là ! » (Rires) C’est quelque chose qui était en moi, mais je ne m’en étais pas aperçue. De fil en aiguille, mon projet entrepreneurial s’est construit et mon entreprise est née en 2018. J’ai commencé à officier dès l’année suivante. J’ai suivi une formation au sein de l’International Wedding Institut à Paris et une autre de biographe à l’AEPF. J’avais besoin de cet échange avec des pros, de savoir où j’allais et, je pense, de légitimité.

J’avais pas mal de contacts dans le milieu du mariage, car je m’étais moi-même mariée et j’avais travaillé dans un château pendant mes études. Ils avaient un pôle événementiel, donc j’avais un petit réseau local, ce qui m’a permis de démarrer assez rapidement. Je me suis installée au sein de la Coopérative d’Activités et d’Emploi des Côtes d’Armor, ça m’apporte beaucoup : on bénéficie de bureaux partagés et c’est une autre façon de voir l'entrepreneuriat. En tout cas c’est comme ça que j’avais envie de le vivre.

Après le Covid, j’ai eu énormément de demandes en plus des reports. Et comme je limite le nombre, la saison se complète assez vite. Je restreins, car je souhaite conserver le pôle biographie et les écrits funéraires. Je veux apporter quelque chose de qualitatif à tout le monde et je ne peux pas me dédoubler. Ces trois domaines me plaisent tout autant. 

Pour les cérémonies laïques,je rencontre les mariés des mois à l’avance, j’ai besoin de connaître leur histoire, leurs attentes, ce qu’ils souhaitent ou non. J’accompagne leurs intervenants dans la rédaction de leurs discours, je retravaille tout pour que ça soit fluide et dynamique. Je prends en compte la tonalité de la cérémonie, c’est une prestation réellement sur-mesure. Ce ne sont pas des textes à trous ! (Rires) Je m’attarde beaucoup aussi sur les ambiances, les symboliques, etc. Ça me demande énormément de temps d’écriture. 

Je communique assez peu donc les mariés me trouvent grâce aux recommandations, au bouche-à-oreille, je suis présente sur les réseaux standards du mariage. Moi qui adore écrire, je n’aime pas beaucoup communiquer. Pour moi, c’est vraiment un autre métier, il faut être hyper présent, avoir de belles images, etc. Bref, je n’ai pas le temps et ça n’est pas mon truc ! (Rires) Et je n’en ai pas tellement besoin, je ne vise pas la quantité. Mon travail, je le fais avant tout pour les gens, ce qui m’importe le plus c’est que ce soit qualitatif. Les personnes qui viennent vers moi savent que j’ai un réel affect pour l’écriture.

Le premier contact avec les mariés se fait généralement par mail, puis on se rencontre, parfois en visio. Je préfère qu’ils soient là tous les deux, car c’est surtout une envie de couple. Donc j’aime bien qu’ils puissent me poser leurs questions, souvent ce ne sont pas les mêmes. Il y a toujours un entretien et moi j’ai besoin de cadrer leurs attentes, savoir si je suis réellement la personne qui peut répondre à leurs demandes. Lorsque c’est convenu et acté, je mets en place un rétroplanning afin qu’ils sachent ce qu’ils auront à faire quand on va se rencontrer jusqu’à leur jour J.

Ça me permet aussi de prévoir qu’à telle période je suis en phase d’écriture, que je contacte leurs intervenants, à quel moment on va se voir en rendez-vous logistique, etc. Ça m’aide à rester organisée pour n’oublier aucun détail. Avant que l’on se rencontre pour la seconde fois, je leur remets des questionnaires et je leur laisse le temps pour y répondre. C’est très important qu’eux-mêmes prennent du recul sur leur histoire, car il en ressort des choses très fortes et spécifiques sur lesquelles je peux m’appuyer. Quand on se retrouve ensuite, je peux plonger dans des moments bien précis de leur histoire. C’est intime et très intense, j’ai une base de données très dense pour pouvoir commencer à écrire. 

On se revoit au minimum quatre autres fois, j’ai réellement besoin de ces cinq rendez-vous. D’abord pour apprendre à se connaître, puis pour travailler sur leurs vœux. Je n’impose rien, je fais des suggestions : cette parenthèse des vœux, même si c’est très court, ça peut être hyper fort et permettre d’appuyer telle ou telle symbolique. C’est un atelier spécifique au cours duquel je les aide à extraire ce qui est essentiel pour eux. On produit une sorte de brouillon à l’écrit, pour pouvoir ensuite imaginer les formes que ça peut prendre. Ils n’ont pas besoin de dire leurs vœux au micro, car ça peut être impressionnant, mais je leur laisse cette possibilité de s’échanger quelques mots.

Lors du troisième rendez-vous, on parle d’ambiance musicale et de symboliques. On travaille sur ce que la musique peut apporter à la cérémonie, ce qu’ils aiment et à quel moment on peut l’insérer. Ces éléments m’aident aussi pour l’écrit. On discute des valeurs qu’ils veulent transmettre, et comment ils ont envie de les transmettre. Tout ce qui ne se passe pas en paroles : des gestes entre eux, des choses créées avec leurs enfants, des rituels collectifs auxquels tous les invités peuvent prendre part afin qu’il en reste quelque chose. À chaque fois, ça nécessite aussi du matériel complémentaire, des éléments dans le décor. Quoiqu’il en soit, il faut préparer quelque chose qui leur ressemble et qui fait référence à leur histoire. Il y a de très jolis rituels, qui rendent très bien en photo (rires), mais si ça ne leur parle pas ça n’a aucun sens. Quand on aborde le sujet, il y a déjà des petites infos que j’ai retenues des précédents échanges, qui pourraient permettre de faire de belles choses. Mais je ne fais pas étalage de tout ça, je n’impose rien, je suggère simplement. Ensuite on se voit pour un rendez-vous logistique pour évoquer la mise en place de la cérémonie laïque, afin de savoir qui apporte quoi, etc. Je les conseille aussi sur la disposition des assises, car ça a une influence sur l’ambiance. 

Le rendez-vous final, c’est un gros topo avec le nombre d’invités et les derniers détails. Je fais le lien avec la fleuriste pour connaître ce qui est prévu, j’ai besoin d’anticiper s’il y a des petites choses à organiser de mon côté.

L’accompagnement des intervenants, ça fait vraiment partie de toute cette préparation. Généralement, je les contacte une première fois pour les atteler à la tâche, les motiver. (Rires) Ils sont toujours hyper impliqués et heureux qu’on leur confie cette mission, mais certains sont aussi un peu apeurés. Je suis là pour les appuyer et les guider, je les aide à la rédaction, je fluidifie l’ensemble. 

Je recueille tous les écrits, des mariés et des intervenants, parce que ça me permet de quantifier le timing précis de la cérémonie. Ça dure souvent entre 45 minutes et une heure, mais parfois c’est plus long. Dans ce cas, je fais très attention à ce qu’il n’y ait pas de redondances d’un discours à un autre, que ce soit suffisamment dynamique, que ça reste dans l’ambiance souhaitée. J’ai besoin d’avoir une vision globale pour que la cérémonie ressemble vraiment au couple.

Ce sont toujours des moments intenses. Je suis très émotive donc, évidemment, je suis emportée à chaque fois, mais je sais rester dans mon rôle ! Les discours je les connais à l’avance, mais il y a des surprises lorsqu’on les entend : le débit de paroles, les yeux qui pétillent, etc.

Une fois que la cérémonie est passée, je suis toujours sur mon petit nuage, car c’est beaucoup d’émotions, même dans la voiture je suis encore à fond. (Rires)

On s’appelle après pour débriefer. Sur place, je leur remets un livret, avec tout le contenu de la cérémonie : les écrits, le certificat d’union, etc. On s’envoie les photos, on garde un petit lien, je reçois les faire-part de naissance. Comme j’aime écrire, j’envoie des vœux aussi ! (Bon ok, j’ai du retard cette année !!!)

Ce qui me plaît, c’est de pouvoir écrire différemment. À chaque fois je pars d’une page blanche et je me laisse voguer sur leur histoire. C’est un vrai plaisir et un plaisir renouvelé et différent. Les couples ne sont pas les mêmes, les cérémonies ne sont jamais les mêmes. Je ne m’ennuie jamais, j’ai sans cesse ce plaisir de l’écriture. L’humain est vraiment ce qui m’a toujours importé dans la vie, côté perso et pro, donc là je suis servie ! (Rires) C’est très enrichissant de ce point de vue, même avec les proches d’ailleurs qui révèlent parfois d’autres facettes des mariés. Et pouvoir contribuer à une belle étape dans leur vie, en étant consciente qu’il y en a qui sont beaucoup moins gaies et qui sont difficiles, je trouve ça très important.

Certains couples veulent absolument que ce soit un proche qui officie, dans ce cas-là je propose une formule « Coaching — Maître de cérémonie d’un jour » qui sera la plus appropriée. Il y a quand même tout l’accompagnement en amont pour la préparation de la cérémonie.

Je propose aussi des forfaits à la demande, j’aide à la rédaction des discours. Et puis, il y a l’accompagnement du début à la fin. Il y a des demandes qui sont plus longues à mettre en place, comme les célébrations bilingues en anglais, ou un mariage à la plage : oui, c’est possible, mais ça nécessite diverses autorisations, c’est un domaine public donc il faut envoyer des dossiers réglementaires auprès de la municipalité, etc. Je m’adapte, en fonction de ce qu’ils souhaitent et de comment ils imaginent ce moment-là. Ça va du simple conseil, aux surprises faites aux invités, jusqu’à l’apprentissage des bases en langue des signes pour inclure vraiment tout le monde... J’aime les challenges !

Je ne suis pas wedding planner en revanche, mais, je suis là pour les épauler dans l’organisation de leur cérémonie, il faut avant tout qu’il y ait le feeling avec la personne qu’ils choisiront. C’est important dans les deux sens ! Je suis vraiment ok également, s’ils se rendent compte qu’ils ne sont pas à l’aise avec moi. S’ils mettent des barrières, je vais le sentir dans l’écriture. Chacun doit accepter l’autre, on ne peut pas plaire à tout le monde. Et on n’a pas tous les mêmes compétences, certains proposent le volet décoration par exemple, ce n’est pas mon cas. J’ai un peu de matériel, mais ça ne correspond pas à tous et je ne suis pas décoratrice événementielle. C’est à budgétiser. En tous les cas, en tant que prestataire, on a en commun d’apporter notre touche de magie pour les marié.e.s, pour leur grand jour. »


Les prestataires recommandés par Estelle :

“J’ai un parcours assez éclectique, pas vraiment linéaire, et ça se ressent également dans mes clients. Je n’ai pas de client-type, ils sont tous très différents. Donc je côtoie aussi des prestataires très différents !”

  • Dod Illustratrice : Illustratrice, graphiste. “Elle a un style bien à elle, un coup de crayon hyper précis, c’est un petit bonbon. Je la connais en tant que graphiste, et réalise mes carnets de cérémonie et certificats d’union. Mélodie a ouvert depuis La Maison Dod.”

  • DPA Création : Illustratrice, graphiste. “Je travaille en parallèle avec Pauline pour les certificats d’union destinés à mes cher.ère.s marié.e.s. . Mais ce n’est pas la seule corde à son arc, elle a bien des talents cachés, dans la création textile notamment…”

  • Music Store, Guingamp : Loueur de matériel pro sono. “Christophe est fan de musique et avec lui j’ai tous les conseils pour le matériel et je ne me soucie pas de la technique. C’est idéal quand on ne fait pas la cérémonie sur le lieu de réception !”

  • Eric Ferrer : DJ. “Il n’est pas en Bretagne. Je l’ai rencontré au cours de ma formation d’officiante et on est restés en contact. Il m’a toujours beaucoup aidée et m’a appris pas mal de bases nécessaires au métier.”

  • Pour Une Cérémonie : Officiante. “Émilie a été ma formatrice justement, on est toujours en contact et je la considère vraiment comme ma mentor. Son parcours d’officiante est exemplaire et sa renommée, plus à démontrer. ”

  • Pétronille Décoration : Wedding Designer. “Angélique va toujours au bout de ses idées pour sublimer les lieux et elle regorge d’idées créatives. Rien n’est laissé au hasard et elle gère avec énergie des petites aux grandes installations !”

  • Coccinelle : Maître artisan fleuriste. “Karine est géniale, c’est une personne hyper humaine. Je la croise fréquemment en saison et pas uniquement pour les belles occasions à fleurir. Tous ses projets sont bluffants. Elle est à l’écoute et avec Nicolas son mari, ils forment un couple entrepreneurial qui se pousse vers le haut et qui se soutient. C’est un exemple ! ”

  • Akene : Fleuriste, “Suzanne a un univers très délicat, naturel. J’adore ce qu’elle arrive aussi à faire avec le végétal. C’est toujours réalisé avec talent et dans la plus grande discrétion.”

  • Château de Boisgelin : Lieu de réception. “Les lieux sont splendides et à taille humaine, l’accueil est adorable. Marine et Mathieu sont tellement gentils, j’apprécie chaque fois y retourner pour d’incroyables moments.”

  • Charlotte Poudroux : Photographe. “C’est une personne que j’estime profondément, j’aime beaucoup son approche dans la photo et les projets qu’elle mène de front, avec son studio et ses expos qui traitent de sujets essentiels. Son talent n’est plus à démontrer. Sans oublier son franc-parler qui fait partie de sa personnalité, elle me fait beaucoup rire.”

  • Aurore le Dréan : Photographe. “J’aime bien ce qu’elle propose, on n’a encore jamais travaillé ensemble mais ça n’empêche, je suis pas mal d’autres professionnels locaux dans leurs aventures et à mes yeux, les émotions qu’elle partage ressortent beaucoup.”

  • Film en Boîte : Vidéastes. “Thibault et Sylwia font des reportages vidéos, se faufilent partout très discrètement, et pendant le repas ils proposent déjà quelques images. C’est absolument dingue et émotionnellement très fort.”

  • Plume d’un Instant : Officiante. “Je connais Sandy depuis quelques années, elle est très touchante. On travaille de façon assez similaire donc on est amenées à se recommander souvent l’une et l’autre. C’est une belle personne et une super professionnelle.”

  • Event Live Animation : DJ. “Samuel est très cool, les échanges sont très fluides avec lui, jamais d'impair, son matériel est au top.”

  • Les Saveurs du Penthièvre : Traiteur. “Ils sont très discrets et les équipes sont hyper pros du début à la fin. Ça sent toujours divinement bon quand je désinstalle mon matériel et qu’ils circulent dans les parages !”

  • Secrets de Gourmandises : Traiteur. “De l’avis unanime de mes clients, Adrien Le Quéré s’adapte vraiment aux goûts et propose différentes prestations, toujours avec le sourire, toujours au top niveau.”

  • Lena Confection : Créatrice. “Passionnée de couture, elle est notamment spécialisée dans le costume d’époque et le vêtement chemin d’éveil. Donc travaille aussi avec d’anciennes dentelles et avec des tissus qui subliment celles et ceux qui les portent. Elle fait des robes très spécifiques, créées sur-mesure dans son atelier.”

  • By Héloïse : Accessoires et bijoux. “Héloïse est une créatrice, elle fait beaucoup de noeuds papillons en bois ou tissus et elle en crée même des sur- mesure. Aussi beaux que ses collections de bijoux !”

  • Song of Freedom : Gospel. “C’est incroyable en termes d’ambiance, de partage et d’énergie. Ils sont géniaux.”

  • La Parenthèse Idéale : Wedding Planner. “Justine est hyper carrée, très pro de réputation, Elle mène autant de projets mariages que d’événements entreprises en local. Les challenges ne lui font pas peur non plus je crois.”

  • Max Martins : Tailleur. “Ce qui est devenu bien rare aujourd’hui, il est top ! Hyper à l’écoute de ses clients, super adresse.”

  • L’Atelier des Caprices : Boutique de robes de mariée. “Priska est très dynamique et souriante. Sa boutique est une mine de trouvailles, de robes, du cocktail pour les invités à celle pour la plus belle !”

  • À l’Ondée : Chapellerie. “En presque voisine de Max, cette boutique est une telle caverne d’Ali Baba, que j’adore m’y rendre. Super adresse pour venir au mariage avec un couvre-chef, du plus moderne, au plus typique, en passant par les plus ‘waouh’ ! Judith et Anne-Laure sauront aussi vous conseiller pour les parapluies… Essentiel en plan B ou C, pour toute cérémonie bretonne qui se respecte !”


STL * HAPPY END - Officiante de cérémonie laïque

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